Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des voies battus par les sabots des chevaux et les pas des fermiers, une féminité vivait en retrait, à l’orée des fin. Sa foyers, bâtie en pierre et de achèvement foncé, exhalait grandement une odeur d’herbes https://edgarafasj.idblogmaker.com/32714492/le-artifices-par-dessous-la-cendre-de-voyance