L’horlogère retourna dans son fabrique, la chemise serrée entre ses main. Le tic-tac s’était tu, tels que si l’accident survenu sur votre chemin avait refroidi son étrange mécanisme. Pourtant, elle sentait que l’objet n’avait toujours pas révélé tous ses mystères. Elle s’installa par-dessous la illumination tamisée d’une lampe à pétrole https://keeganaulew.blogacep.com/39067382/les-ombres-du-cadran-fracturé