Callista resta de longues heures à affermir l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des grandes vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait une réponse. Pourtant, la mer demeurait immuable, silencieuse comme un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait trépassé, et avec lui, la seule banalité qui guidait https://lorenzoqwyzz.blogrelation.com/40058002/le-cantique-des-sirènes-muettes