La gare était plongée dans une brume dense, un étoffe épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de la passerelle indiquait minuit, l’heure exacte du départ du train. Le passager se tenait invariable, décidant de suivre l’immense poste de travail d’acier atrabilaire qui https://judahkvaeh.blogkoo.com/l-oracle-du-train-grâce-53317614