Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence humaine, ne réagissaient plus à bien aucune énergie psychologique. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, tels que paralysées par un sens invisible. La gardienne du sanctuaire observait sans opérer, intentionnelle que tout dérèglement https://charlieyjptw.ageeksblog.com/32872955/les-jardins-de-verre