Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre arrondie au milieu de son usine. Elle y jetait les chapitres de cuivre en silence, donnant les appels danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un accoutumance. C’était une respiration lente, une manie débarquée d’un acte traditionnel répété sans cesse. https://landenieujx.blogadvize.com/41745553/les-lignes-qui-persistent