Chaque soir, Liora ravivait le gerbe dans l’âtre arrondie au milieu de son manufacture. Elle y jetait les fragments de cuivre en silence, laissant les aspirations danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rituel. C’était une aspiration lente, une rituel débarquée d’un acte traditionnel répété sempiternellement. Les https://tituscmcoz.designertoblog.com/65500846/le-feu-des-contours